Témoignage anonymisé : vache à lait

SOSHBF : Nous avons anonymisé ce témoignage par précaution et retiré certains éléments indicatifs.

Il faut remonter à l’ère du franc. Cet homme était entrepreneur, travaillait dur dans un milieu très concurrentiel : l’industrie laitière.
Il se levait tôt, se couchait tard, n’avait aucun répit durant la journée et il gagnait sa croûte à la sueur de son front. Il avait plusieurs employés et avait réussi à très bien gagner sa vie.
Sa femme… à part lui demander sa CB et flâner, elle ne faisait pas grand chose ni pour se rendre utile, ni pour s’élever professionnellement, intellectuellement ou académiquement. Au mieux, elle le dénigrait et le rabaissait à l’aide longueur de journée. Ah oui, et un jour elle décida accessoirement de vider tous les comptes, soit près de 1 000 000Fr (150 000€). Personne n’a jamais retrouvé la trace de cette somme et la justice n’a pas donné suite à la plainte sous prétexte qu’ils vivaient sous la communauté de bien et tous les comptes ainsi que l’entreprise étaient au deux noms.
Durant le divorce, monsieur, grand prince a bien voulu lui céder 50% du commerce, du matériel et même des clients. Mais madame ne voulait pas travailler, juste dépenser. Alors le juge a estimé que monsieur garderait l’entreprise et verserait 50% de ses revenus à madame tous les mois.
Monsieur mettra instantanément l’entreprise en faillite pour se sortir de cette impasse et Madame décédera d’une grave maladie 2 ans plus tard. On ne saura jamais où sont partis les sous qu’elle avait volé.
A cette époque, époque toujours d’actualité d’ailleurs, les hommes maltraités n’étaient pas reconnus, pas plus accompagnés sur le plan thérapeutique. Il continuera donc son chemin avec ses failles non traitées et non cicatrisées jusqu’à rencontrer une nouvelle femme, avec un fils déjà majeur.
Il ne faudra pas long avant que cet homme, le cœur sur la main, propose d’acheter un fond de commerce en son nom pour son nouveau beau fils. Mais ce dernier n’avait qu’une envie, faire la fête et accessoirement ne pas travailler. Il s’arrangera pour accumuler des dizaines de milliers d’euros de dettes, vendre le commerce qui n’était pas le sien, avant de partir avec les sous récoltés.
Mais en plus d’éponger les dettes et les crasses de son beau fils, il avait droit d’être battu par sa nouvelle femme. Il trouvera le courage de déposer plainte contre elle, plainte en correctionnelle que la justice n’a toujours pas instruite depuis plus de 6 ans d’ailleurs (tiens comme c’est étrange, ça nous rappelle tant d’autres cas). Et à côté de cela, il lui aura fallu pas moins de 6 ans de procédure et près de 60 000€ en frais juridiques pour obtenir le divorce de cette femme.
Il vient de recevoir le jugement de divorce qui lui donne gain de cause. Toutes les demandes de madame, de pensions alimentaires (les enfants majeurs) et de prestations compensatoires (elle gagne quasiment autant que lui), ont été rejetées.
Il avait le sourire et il gloussait au téléphone ce soir !
Nota : Bon vent à vous monsieur ! Toutefois même si nous comprenons que vous avez bien retenu la leçon cette fois-ci, faites attention aux femmes que vous rencontrez. Une faille non guérie adéquatement est une porte ouverte aux femmes malveillantes. Il serait bon que vous creusiez un peu plus en profondeur le terrain de vos failles. Et bon courage pour la correctionnelle qui plane toujours sur madame.